COMDOCMONDE

Facebook
Vimeo

L'ARBRE SANS FRUIT

de Elhadj Aicha Macky

NIGER, France - 2016 - 52 MINUTES

synopsis

Mariée et sans enfant, Aïcha se trouve dans une situation “hors-norme” dans son pays. Mais au Niger comme partout dans le monde, il y a des problèmes d’infertilité. À partir de son histoire personnelle, adressant ses questionnements à sa maman disparue en couche, la réalisatrice explore avec délicatesse les souffrances cachées des femmes et brise les tabous. Le spectateur chemine ainsi aux côtés d’Aïcha au Niger, une femme parmi les mères.

Réalisatrice

Née le 8 janvier 1982 à Zinder au Niger, Aïcha El Hadj Macky obtient une maîtrise de sociologie de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. En 2011, elle réalise son premier court métrage, Moi et ma maigreur, qui questionne la perception du corps « maigre » et le lien que fait la société avec les maladies telles que le sida. En 2013, elle obtient un Master I en Audiovisuel et Documentaire de création puis un Master II en Réalisation Documentaire de Création à L'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal en 2013 avec son film, Savoir faire le lit, qui interroge les tabous et les non-dits autour de la question de l'éducation sexuelle entre mère/fille au Niger. Elle poursuit sa formation par des stages successivement au sein de Contrechamps et de Maggia Images, en travaillant comme assistante sur de nombreux films de fiction et de documentaire parmi lesquels Une journée avec Alhousseini de Idi Nouhou. L’Arbre sans fruit est son premier long métrage documentaire.

FICHE

PRODUCTION

Les Films du Balibari

Maggia Images sarl

DIFFUSION

Lyon Capitale TV

PARTICIPATION

Procirep

Angoa-Agicoa

Région Pays de la Loire

CNC

Organisation Internationale de la Francophonie

récompenses

2018 : Festival du film documentaire de Saint-Louis – Saint Louis (Sénégal) – Film de clôture

2017 : Les Étoiles du documentaire – Paris (France) – Sélection

2017 : Scam – Paris (France) – Étoile de la Scam

2017 : Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) – Ouagadougou (Burkina Faso) – Compétition documentaire

2016 : Aux Écrans du Réel – Le Mans (France) – Prix du Jury & Prix du public

2016 : Festival du film documentaire de Saint-Louis – Saint Louis (Sénégal) – Sélection officielle – Moyens Métrages

2016 : Les Escales documentaires de Libreville – Libreville (Gabon) – Mention Spéciale Grand Prix Charles Mensah

2016 : Images en bibliothèques – Paris (France) – Film soutenu par la Commission nationale de sélection des médiathèques

2016 : Lumières d’Afrique – Besançon (France) – Mention spéciale du Jury

2016 : Festival des cinémas d’Afrique du pays d’Apt – Apt (France) – Sélection

2016 : Festival International Jean Rouch – Voir autrement le monde – Paris (France) – Prix du Premier Film & Prix Fleury Doc.

2016 : États généraux du film documentaire – Lussas (France) – Sélection Docmonde

2016 : Africa Movie Academy Awards – Lagos (Nigeria) – Prix du Meilleur Documentaire

2016 : FESTICAB – Festival International du Cinéma et de l’Audiovisuel du Burundi – Bujumbura (Burundi) – Premier Prix dans la catégorie documentaire

Facebook
Vimeo

Lussas - docmonde@lussasdoc.org - 04.27.52.90.23​

Facebook
Vimeo

Le Koro du Bakoro, les naufragés du Faso

de Simplice Ganou

BURKINA FASO, France - 2017 - 78 MINUTES

synopsis

Polo arpente Ouagadougou depuis l’enfance. Aujourd’hui, il a grandi. À 29 ans il est l’aîné d’un groupe de jeunes qui vit de bricoles et de défonces. Plongée brute dans une réalité rugueuse comme le goudron qui manque aux rues de Ouaga, The Koro of Bakoro, the Survivors of Faso est avant tout une vue de l’intérieur. Simplice Herman Ganou connaît aussi bien que Polo et sa bande les rues où ils vivent, essayant de vendre des lampes solaires de récup’ customisées “à la sauce Bakoro”. Il avait déjà trainé sa caméra dans ce coin, signant il y a quelques années Bakoroman (2012), portrait d’adolescents de la rue. Quelques années ont passé… Et la question qui se pose à présent n’est plus celle de la survie, mais bien celle de l’identité. Dans la rue, on n’est personne. “Si j’étais mort dans les révoltes de 2014, on m’aurait mis dans la fosse commune”, la quête qui rythme le film est alors identitaire. Polo part au village à la recherche de son acte de naissance, tel le corps métaphorique d’un Burkina Faso orphelin depuis la mort de Sankara et dont la révolution récente laisse ses enfants comme naufragés.

Réalisateur

Simplice Herman GANOU est né en 1974. Ce réalisateur et scénariste burkinabè a travaillé comme éducateur avec les enfants de la rue. Il intègre le Master de Réalisation Documentaire à l’Université Gaston Bergé de Saint Louis du Sénégal en 2010. Il y a réalisé un court métrage documentaire : Un peuple, un bus, une foi, son film de fin d’études, sélectionné aux États généraux du Documentaire de Lussas et au festival de Tampere. Il a également réalisé pour Arte, Ato, court-métrage documentaire (2011, 15′). Bakoroman (2011, doc, 62′) est son premier film professionnel. En 2017, il réalise Le Koro du bakoro, naufragés du Faso (doc, 78′) qui remporte le Tanit d’Or aux JCC 2017 en Tunisie.

FICHE

PRODUCTION

Les Films du Bilboquet

Princesse M. Productions

ADV Productions

DIFFUSION

Non renseigné

PARTICIPATION

Organisation Internationale de la Francophonie

CNC

récompenses

2019 : Africlap – Festival des Cinémas d’Afrique de Toulouse – Toulouse (France) – Sélection

2018 : Les Rencontres cinématographiques de Cerbère-Portbou – Cerbère (France) – Prix Walter Benjamin & Mention spéciale

2017 : Traces de Vies – Clermont-Ferrand (France) – Sélection “Un monde sensible”

2017 : Journées Cinématographiques de Carthage – Tanit d’Or

2017 : États généraux du film documentaire – Lussas (France) – Docmonde

2017 : Visions du Réel – Nyon (Suisse) – Compétition Section “Regard Neuf”

Facebook
Vimeo

Lussas - docmonde@lussasdoc.org - 04.27.52.90.23​

Facebook
Vimeo

Vivre riche, mourir vite

de Joël Richmond Mathieu Akafou

BURKINA FASO, France, Belgique - 2017 - 52 MINUTES

synopsis

C’est dans un Abidjan, Côte d’Ivoire, en pleine mutation sociale. Nous découvrons une jeunesse ivoirienne en manque de repères suite aux crises politiques et économiques de ces dernières années. Nous suivons Rolex le portugais et ses compagnons, des jeunes dans leurs activités quotidiennes, arnaque et petit commerce pour survivre. Ils nous introduisent dans les nuits folles d’Abidjan et leurs vies tourbillonnantes, âgés de 15 à 25 ans, entre arnaque, sexe, alcool, frime, fétichisme, sacrifice. Pour eux, arnaquer les européens c’est encaisser la dette coloniale.

Réalisateur

Né en 1986, Joël Akafou est un scénariste, dramaturge et réalisateur ivoirien. Diplômé de l’Institut supérieur de l’image et du son à Ouagadougou, il a réalisé plusieurs courts-métrages d’école, dont Nourah (2016), sélectionné dans plusieurs festivals en Afrique. Son premier film documentaire, Vivre riche, a été primé aux festivals Visions du réel et Corsica.Doc.

FICHE

PRODUCTION

VraiVrai Films

Les Films du Djabadjah

Les Films de la Passerelle

DIFFUSION

TV78

Lyon Capitale TV

RTBF – Radio Télévision Belge Francophone

 

PARTICIPATION

Angoa-Agicoa

Procirep

Région Nouvelle-Aquitaine

CNC

COSIP

récompenses

2019 : Résistances – Foix (France) – Sélection

2018 : Festival du film documentaire de Saint-Louis – Saint Louis (Sénégal) – Plein Air

2018 : Images en bibliothèques – Paris (France) – Film soutenu par la Commission nationale de sélection des médiathèques

2018 : Scam – Paris (France) – Étoile de la Scam

2018 : Filmer le travail – Poitiers (France) – Compétition internationale

2017 : Festival du film documentaire de Saint-Louis – Saint Louis (Sénégal) – Sélection officielle

2017 : CorsicaDoc – Festival international du film documentaire d’Ajaccio – Ajaccio (France) – Sélection “Nouveaux Talents”

2017 : Festival Cinémas d’Afrique – Lausanne (Suisse) – Sélection

2017 : États généraux du film documentaire – Lussas (France) – Docmonde

2017 : Visions du Réel – Nyon (Suisse) – Sesterce d’Or George – Meilleur Moyen Métrage

Facebook
Vimeo

Lussas - docmonde@lussasdoc.org - 04.27.52.90.23​

Facebook
Vimeo

Ganda, le dernier griot

de Ousmane Diagana

MAURITANIE, France - 2019 - 62 MINUTES

synopsis

Après le bouleversement socioculturel postcolonial en Afrique, la caste des griots est peu à peu devenue une caste de musiciens professionnels. Ganda est une exception : il a su rester dans la pure tradition des griots en perpétuant la transmission des valeurs de la société soninké et de la mémoire collective africaine. Quand il décède en 2009, c’est le baobab qui s’écroule, la mémoire de ma société qui risque de s’éteindre. J’ai décidé de refaire le dernier voyage de Ganda, de Paris où il est décédé, à Maréna près de Kayes au Mali où il est enterré. Ses anciens amis nous conteront son histoire singulière et, par l’analyse du sens de ses paroles, nous feront comprendre la place prépondérante qu’ont le chant et la musique dans la vie des africains.

Réalisateur

A la fin de mes études de commerces à l’institut privé de techniques de commerce de Nouakchott en 2005, j’opte pour le cinéma. En 2006 je pars pour faire une résidence d’écriture de film documentaire d’Africadoc à Tombouctou au Mali et en 2007 à St louis du Sénégal et puis en 2008-2009 je fais le Cine-Majuscul à Nouakchott en Mauritanie pour apprendre le cadrage, la réalisation et le montage.

FICHE

PRODUCTION

VraiVrai Films

Impluvium Productions

DIFFUSION

Melody TV

PARTICIPATION

Angoa-Agicoa

Procirep

CNC

Conseil général de la Charente-Maritime

Région Nouvelle-Aquitaine

récompenses

2019 : Festival du film documentaire de Saint-Louis – Saint Louis (Sénégal) – Panorama Sénégal

2019 : Africlap – Festival des Cinémas d’Afrique de Toulouse – Toulouse (France) – Sélection

2019 : FESPACO – Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou – Ouagadougou (Burkina Faso) – Compétition Officielle – Documentaire Long Métrage

Facebook
Vimeo

Lussas - docmonde@lussasdoc.org - 04.27.52.90.23​

EnglishFrench